Arrivé à l’âge de la retraite, il se passionne pour la photo, la photo-numérique. Ingénieur de formation et ayant travaillé dans le domaine spatial (satellites), les bases techniques ne lui sont pas complètement étrangères. La photo étant plus « facile » d’accès du fait de l’évolution des technologies: disponibilité d’appareils de prises de vues, d’ordinateurs et d’imprimantes.
Pendant six mois/un an, il réalise des clichés que l’on qualifierait de types classiques: portraits, paysages, natures mortes, scènes de la vie etc. Pour s’apercevoir qu’il utilisait pratiquement toujours les mêmes réglages, alors que certains logiciels offrent des possibilités de montages, de mélanges, qui autorisent la création de scènes sorties de l’imagination.
Pendant six mois/un an, il réalise des clichés que l’on qualifierait de types classiques: portraits, paysages, natures mortes, scènes de la vie etc. Pour s’apercevoir qu’il utilisait pratiquement toujours les mêmes réglages, alors que certains logiciels offrent des possibilités de montages, de mélanges, qui autorisent la création de scènes sorties de l’imagination.
Heinrich Jabs réalise donc depuis mi-2013, des œuvres qui peuvent comporter six/sept parties, qui unissent des éléments de photos différentes. La technique se met alors au service de l’imagination. L’extraordinaire rejoint les rêves éphémères…